La COP 24 vient de s’achever. L’accord finalement adopté est d’une ambition très restreinte, en raison des divergences actuelles entre les États membres de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Dans ces conditions, comment permettre aux populations les plus démunies d’avoir accès à l’énergie et à l’eau, conditions indispensables pour enclencher leur développement, notamment en matière de santé, d’éducation, de sécurité et de prospérité ?