La COP 24 vient de s’achever. L’accord finalement adopté est d’une ambition très restreinte, en raison des divergences actuelles entre les États membres de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Dans ces conditions, comment permettre aux populations les plus démunies d’avoir accès à l’énergie et à l’eau, conditions indispensables pour enclencher leur développement, notamment en matière de santé, d’éducation, de sécurité et de prospérité ?
Le violent séisme et le tsunami qui ont frappé l’Indonésie le 28 septembre dernier ont fait plus de 2000 morts, mais aussi des milliers de blessés et de disparus.
Les bénévoles d’Electriciens sans frontières sont en Indonésie et évoluent aux côtés de la protection civile, des pompiers indonésiens et des autorités locales.
Le 7 juin dernier, notre ONG a présenté sa position quant au financement de l’accès à l’énergie, dans le cadre d’une conférence organisée à Paris par l’ADEME et le Syndicat des énergies renouvelables (SER) à laquelle ont assisté plus de 200 représentants du secteur. Au cours d’une table ronde intitulée « Quels sont les besoins et les enjeux du financement de l’accès à l’énergie ? », nous avons abordé une question centrale pour nos activités : est-ce que les outils de financement actuels permettent d’assurer la pérennité des projets d’accès à l’énergie ?
Près de cinq jours après le séisme et le tsunami qui ont frappé l’île des Célèbes en Indonésie, le bilan ne cesse de s’alourdir. Devant l’ampleur de la catastrophe, Electriciens sans frontières travaille avec le Centre de crise et de soutien du Ministère chargé des Affaires étrangères, aux côtés d’autres ONG françaises pour venir en aide à la population sinistrée.
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